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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 11:39


Terry Pratchett's comment :  "It is a masterpiece "

The story is quite short, with less than 200 pages. It's pretty weird, and a little frightening. Coraline, a little girl, goes to the other side of a door which was supposed to be walled. And on the other side, there is the other mother. Who wants to love Coraline as her mother, better than her mother. Really really wants to love her. And that involves not to set her free.

Let's have a look at the book's summary :

"Coraline is not the kind of girl to be put off by a sign of danger read in some tea-leaves or indeed a message sent to her by some very talented mice! No, she is the kind of girl who faces a challenge with bravery, intelligence and a lot of determination. Which is just as well because she is going to need all those skills, and more, in this wonderful, spooky tale of a girl caught on the wrong side of a door, with counterfeit parents who have buttons for eyes and who clearly do not intend to set her free. Read it if you dare!"

And as ending, an extract :

"We are small but we are many
We are many, we are small
We were here before you rose
We will be here when you fall"

It was a good book, but I wouldn't have spoken about "masterpiece".
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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 12:11


     At the begining of the story, you don't understand exactly what's going on. It's narrated by Kathy, thirty-one, who tells you some of her memories. Now she is a "carer" and you understand more or less that her task is to take care of "donors", but the story's point remains obscure. She spent her childhood in a place called Hailsham, a seemingly idyllic school.

     I can't tell you a lot more about the story without revealing to you the plot of the novel (at least the first one), but it's definitly a very good book. From the starting to about the hundredth page, you notice more and more weird details, and a short while before the exposure comes the understanding of the plot. And it's ghoulish... but what a well written story !


     I think I'm going to buy the most famous Ishiguro's novel, "The Remains of the Day". If it's better than this one, I think it's definitly worth it!


PS : don't hesitate to let me know possible mistakes made in this article...
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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 11:19
... et de ceux que j'ai particulièrement aimés ici, en Irlande, bref, en anglais quoi.




     Ceux qui me connaissent depuis vraiment longtemps savent qu'à une époque (dans ma prime jeunesse) c'était bien rare de me voir sans un livre à la main. Dès que j'avais un peu de temps libre (et croyez-moi, j'en trouvais souvent), je me plongeais corps et imagination dans des bouquins plus ou moins bons. A cette époque je ne cherchais pas vraiment la qualité du style de l'auteur, mais plus le caractère fantastique des histoires. J'adorais les "chair de poule" et toutes les collections du même genre "horreur pour moins de 16 ans". Les histoires de vampires, d'extra-terrestres ou de loup-garou, j'étais grande fan.

     En grandissant, j'ai commencé à me lasser de lire toujours plus ou moins la même chose. Les livres qui sortaient comme des petits pains dans le commerce n'étaient évidemment pas des oeuvres d'art de littérature, et j'ai fini par m'en rendre compte. Ajoutez à ça qu'en même temps, j'étais en phase de "désassociabilisation", ce qui faisait que j'avais un peu moins de temps à passer avec moi-même. Bien que j'ai parfois tenté le coup, lire pendant une soirée est assez mal vu (tu m'étonnes... Je me souviens des "savons" passés par Gaby, heureusement qu'elle était là! ).

     Bref, tout cela pour dire que j'ai peu à peu perdu cette faim de lecture. Enfin, pas vraiment perdu, j'aime toujours beaucoup lire à condition que le livre soit bon. Mais elle s'est atténuée de beaucoup.

     En arrivant à Dublin, l'un de mes premiers réflexes a été d'acheter un livre en anglais, cela plus pour me perfectionner dans la langue que pour le plaisir de lire. J'ai acheté la suite d'une série dont j'avais déjà lu les deux premiers tomes en français, "Le chant de la Belgariade"/"The Belgariad". Plutôt bon bouquin de fantasy, quoique pas exceptionnel (surtout après avoir lu la saga de "l'Assassin royal", de Robin Hobb)

     J'ai donc lu les trois derniers livres de la série, ou presque (il me manque en fait la dernière moitié du cinquième tome, je l'ai oublié en France...), en anglais. Ce n'était pas désagréable, mais je n'aurais pas non plus lu ces livres spontanément pendant un moment libre.

     Donc ces bouquins terminés (ou dans l'impossibilité de les terminer de toute façon), j'en ai ouvert un autre. Celui dont je vais parler dans l'article suivant. Et si les premières pages ont été laborieuses, après quelques jours passés à en lire de temps en temps une dizaine, je me suis retrouvée un beau soir complètement happée par l'histoire.

     Lorsque j'ai acheté ce livre, je ne savais pas du tout de quoi il parlait. Il était juste marqué que le roman avait été nominé pour le prix "the man booker prize 2005", et en-dessous d'un résumé très vague de l'histoire étaient recopiées plusieurs très bonnes critiques de grands journeaux américains comme : "The year's most remarkable novel" (Sunday Times) ou " [A] wonderful novel, the best Ishiguro has written since the sublime The Remains of the Day" (Washington Post)
.

     J'ai fini le roman hier soir, et c'est là que j'ai réalisé que j'avais vraiment, mais alors VRAIMENT, envie de lire encore. Et pendant un terrible instant j'ai cru que le dernier livre non lu qu'il me restait sur mes étagères était "Dead Until Dark", que j'ai tenté de commencer très souvent sans arriver à décoller. En fait mon niveau d'anglais à ce moment était vraiment mauvais, je suppose que maintenant ça irait, mais le problème est que j'ai vu les premiers épisodes de l'adaptation du bouquin en série télévisée, et très franchement ça ne me donne pas envie de connaître la suite... L'impression que j'en ai retirée est qu'il s'agit d'une histoire de vampire de plus, du réchauffé.

     C'est lorsque j'ai rangé Never Let Me Go sur mon étagère que j'ai réalisé qu'un autre livre s'y trouvait, un livre tout fin, en anglais, que j'avais amené de France à mon arrivée fin septembre. Et me revoilà plongée dans une nouvelle histoire très prometteuse.

     C'est donc pourquoi j'ai décidé de faire une section "livres lus en anglais" (abrégée "livres") sur mon blog. Bon, je suppose qu'à un moment ou à un autre je parlerai de livres lus en français (et il faudra alors que je vous parle de "l'élégance du hérisson", mon cadeau de noël que j'ai dévoré en quelques jours et le seul roman français de ma chambre irlandaise).

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